De ce fonds de dictons, proverbes et aphorismes du parler populaire, l’écrivain haïtien peut puiser abondamment. Pour soigner un titre, meubler une narration, il est servi. Il a l’embarras du choix pour nourrir l’inspiration. Après le bal, les tambours sont lourds à soulever et à porter. Cela fait une phrase simple, pourtant elle est la traduction d’un dicton rappelé à chaque circonstance. Par exemple, la veille on avait fêté ; alors le lendemain le réveil est douloureux. Immanquablement, l’on sort : «Apre bal tanbou lou». L’on ne va pas au bou
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