Port-Margot (Nord d'Haiti). Samedi 16 février. Il ne reste que les derniers rayons du soleil. Il fait beau et frais dans cette ville enterrée sous la poussière. Après cinq heures et demie de route, on peut maintenant respirer au cœur de cette ville qui a l’air plutôt endeuillée. En compagnie de mes amis poètes et journalistes, Dominique Batraville et Iléus Papillon, je me plais à arpenter les artères de la ville. Le regard cavaleur, j’entreprends de tout passer au peigne fin.
Loin du tohu-bohu de Port-au-Prince, c’est plutôt le calme qui nous
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