Par Roland Léonard
«La messe est dite», affirmait autrefois en latin le célébrant à l’issue de l’office divin.
Ce festival et ses nombreux spectacles, sur bien des points, ressemblent, à mes yeux et à mes oreilles, à une longue messe profane à la gloire d’un dieu particulier : sa majesté le jazz. C’était une longue chaîne aux maillons plus intéressants, les uns que les autres aboutissant à ce médaillon géant, remarquable et mémorable : la clôture.
Je ne peux m’empêcher de songer à mon ex-collègue féminin Angie Marie Beeline Joseph, si sensib
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