« Viv travay, aba chomaj », ce slogan, tel un leitmotiv, était scandé par des dizaines de poumons en colère et désabusés aux abords du bureau du Premier ministre. Les riverains de Carrefour-Feuilles, pour la plupart des anciens employés du centre de triage, ont tenu parole. Déjà fin décembre, ils menaçaient de gagner les rues si le gouvernement ne donnait pas satisfaction à leur revendication, à savoir la réouverture sans délai dudit centre. Porte-voix électrique, pancartes assorties de revendications, slogans acides…, les initiateurs de ce si
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