Par Arnaud Delcorte
Avec « Déesse de la première vague du jour », Coutechève Lavoie Aupont nous livre un écrin de rayons puissants ou enjoués, au dynamisme mercurien, un recueil traversé du début à la fin par un souffle et une vraie cohérence. Un hymne / hommage à la femme et à la mère, qui se fait par moments confession touchante. Le poète célèbre l’amour en dehors de toutes conventions, un amour absolu qui purifie le corps et l’âme (« je t'ai aimée ma petite mouche d'eau / je t'ai aimée malgré tes bras mouillés dans la rouille des autres »)
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