Le voyage est le propre du lecteur. Il réinvente le monde qui l’enchante. Mais ce voyage est aussi le même pour le poète. Tout poète est voyageur, oiseau... N’est-ce pas Rainer Maria Rilke, ce poète autrichien, qui disait que «pour écrire un seul vers, il faut avoir vu beaucoup de villes », donc voyager ? Mais le voyage chez certains poètes est un voyage inventé, un arpentage de la géographie du non-lieu. Ceci est le cas de Claude C. Pierre, poète, sémioticien, critique littéraire. Claude Pierre est de ces poètes qui inventent leur voyage dan
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous