« Nous nous attelons à construire des écoles dans les endroits les plus reculés du pays », a déclaré d’entrée de jeu Kerline Bernard, coordonnatrice générale de l’AJT. Vantant toutes les réalisations de l’association, elle n’a pas fait l’économie de souligner que la reconstruction de l’école constitue un investissement pour la vie. « Plusieurs générations d’enfants de Belle-Rivière auront à jouir de ce don », soutient-elle, félicitant les autorités de l’ambassade du Japon d’avoir cru dans la viabilité du projet et de l'avoir financé.
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