Journée d'enfer dans deux lycées au Cap-Haïtien

Des dizaines de lycéens admis d'urgence à l'hôpital ; d'autres indignés gagnent les rues et cassent tout sur leur passage ; des écoles privées prises pour cibles par les manifestants ; situation de panique au Cap-Haïtien. Aucune arrestation. La police dit enquêter sur le mouvement qui vise la tête de Justin Métellus à la direction départementale du MENFP.

Des individus non identifiés ont lancé, ce lundi, des bombonnes de gaz lacrymogène, dans les lycées Philippe Guerrier et Jean-Baptiste Dudy Boukman provoquant un grand mouvement de panique dans ces établissements. Des dizaines de lycéens ont, par la suite, été admis d'urgence à l'hôpital universitaire Justinien, après avoir inhalé des gaz toxiques venant de l'explosion des grenades lacrymogènes. Si aucun mort n'est à déplorer, les responsables du principal centre d'hospitalisation du département ont dénombré, à la mi-journée, cinq blessés

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