5 questions à BIC

BIC, ne passe presque plus un mois avec sa famille, il fait le va-et-vient entre Haïti et l'étranger. Depuis la sortie du deuxième volume de son album « Kreyòl chante, kreyòl konprann », c'est devenu un homme occupé à parcourir les scènes où sa musique, reconnue et appréciée pour son niveau poétique, lui emmène. Après la vidéo de « Alèkile », où il s'accentue sur des coutumes, des valeurs intrinsèques qui ont fait la beauté d'Haïti dans le temps, il vient de sortir « Mèsi ti cheri doudou ». Cette vidéo signée Snake de 701 Entertainment, met en vedette Rutshelle Guillaume en artiste invité, et BIC qui rentre tout juste d'une résidence artistique de la Belgique. Roosevelt Saillant dit BIC nous parle brièvement des idées originales de cette nouvelle vidéo, des changements remarquables de sa carrière, et de ses nombreux projets.

1.- Parles-nous un peu de ta dernière vidéo avec Rutshelle, «Mèsi ti cheri doudou ». Dis-nous d'où proviennent ces sites extraordinaires. BIC.- Pour réaliser le clip (Mèsi ti cheri doudou) Snake, directeur de 701 Entertainment et le staff de BIC ont décidé de proposer des images qui referaient à l'amour original, quand il n'y avait que deux personnes sur terre. On est parti de l'idée du jardin d'Eden pour créer un environnement sain, verdâtre, et tout ce qui irait avec. Pour se faire, on a tourné une partie du clip au Canada (Parc Nature L

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