Des gouttes d'eau sur le visage, des journalistes couvrent un événement international au stade national. C'est que la canicule fait rage dans les cabines où travaillent les chroniqueurs sportifs au point qu'un des nôtres croit qu'il est plus commode de travailler torse nu.
C'est à se demander s'il existe un service d'entretien de l'infrastructure qui porte le nom de l'athlète émérite Sylvio Cator. Nos journalistes ne méritent-ils pas un meilleur traitement ? Il nous semble que travailler à la sueur de son front ne suffit pas. Il faut en plu
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