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« Pourquoi faut-t-il que les autobiographies ou les mémoires deviennent trop souvent des édifices de fantaisie d'où l'impression de la simple vérité s'estompe, puis disparaît ? Pourquoi l'être humain est-il tellement désireux de se peindre une existence si différente de celle qu'il a vécue ? ». Ce sont là les quelques interrogations qui commencent l'autobiographie de Maryse Condé, « La vie sans fards ».
D'entrée de jeu, elle parle de Mamadou Condé qu'elle rencontre à Paris au cours de ses études, et qui allait devenir son époux. Mais son m