Il est en retard. Pendant environ une vingtaine de minutes, je poireaute au Karibe, la mine boudeuse et prête à recevoir le retardataire le plus sèchement possible. Mes mauvaises résolutions ne font pas long feu. Quand ''El Diablo'' débarque dans la cour de l'hôtel en tenue de sport (humm), je me dis que tout compte fait, cela valait peut-être l'attente. Sourire ravageur, il me tend la main puis me fait la bise (Oh my God!). Et ses efforts pour se présenter en français ont raison de mes dernières traces de ressentiment. « Bonsoir! Je m'appelle
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