C'est par la gymnastique de ses vers qu'il attire ses lecteurs. «Marèl», son recueil de poèmes publié en 2012, livre une poésie vivante, empreinte de cet idéal de changement qui a toujours hanté l'inconscient du poète.
Technicien en mécanique, Miraklin André libère une muse vigoureuse bien boulonnée. Pas de haute voltige métaphorique. On est plutôt amené au bord d'une pensée tantôt lugubre tantôt luxurieuse, mais qui charrie des séquences de notre passé et qui traduit les déconvenues de notre société. C'est aussi une poésie qui compense s
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous