Épidémies et ascension

« Je demande pardon à mes lecteurs qui avaient tant espéré de moi. » Le romancier de Cathédrale du mois d'Août réédité aux Editions Ruptures nous confie ses émotions.

Propos recueillis par Wébert Lahens
28 mai 2013 — Lecture : 6 min.
Le Nouvelliste (L.N.) : Vous revenez dans le champ littéraire contemporain avec un roman qui a déjà 33 ans depuis sa première publication. Vous sentez-vous inconfortable avec la nostalgie de ce retour à un texte presque fondateur de notre modernité ou éprouvez-vous un bonheur de vous retrouver dans le temps avec Cathédrale du mois d'Août ? Pierre Clitandre : Il y a un peu de bonheur. Le temps n'est pas une chronique linéaire. Il y a divers facteurs qui le caractérisent. La réédition du roman doit avoir une explication, 33 ans après. Dans une

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