Des rêves aux romances, il n'y a qu'une frontière à franchir : celle du réveil. De l'aube ou du levant. Si dans «Rêves errants» le poète s'est fait l'interprète d'une ville de désespoir et de rêves avortés laissés au gré du temps ou du vent, dans ce nouveau recueil, il traite un sujet plus gai, mais toujours avec le même style qu'on lui connaît : l'amour des images fraîches et des jeux inattendus. A la lecture du recueil, on sent que le poète a une certaine estime pour la conception reverdyenne de l'image qui parfois choque, mais ne cesse de
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