« Le premier pas a été d'abandonner mon travail pour me mettre à dessiner », révèle Farah, l'oeil pétillant d'assurance. Vêtue d'un corsage blanc et d'un jean noir, elle reçoit à Thomassin, à la résidence des écrivains du PEN. L'air calme, un sourire bienveillant accroché aux lèvres, elle pianote sur son laptop tandis que s'éparpillent autour d'elle des feuilles couvertes d'esquisses de vêtements. Son Élégance Kreyòl, à la fois le nom de son entreprise et de sa marque maison, n'a que trois mois mais on ne le croirait pas à l'entendre parler. «
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