Poignées de mains, blagues entre les détenus, remerciements au juge de siège Roosevelt Jean Romulus et au substitut commissaire du gouvernement James Pierre par des parents n'ayant pas vu leurs fils et, pour les concubines, les pères de leurs enfants depuis environs 8 ans, telle était l'ambiance qui régnait au parquet après la libération de treize détenus ordonnée jeudi.
Le tribunal a auditionné distinctement chaque prévenu en vue d'être imbu des charges retenues contre chacun d'eux. Ils ont été conduits sur simples procès-verbaux à l'audie
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