Le camp de Pax Villa à bout de patience

Trois cents familles partagent l'espace de Pax Villa, à Maïs Gâté, depuis près de trois ans. L'OIM a effectué plusieurs recensements depuis, mais rien n'est encore fait jusque-là. Elles attendent impatiemment.

Iramène Dorcéus, 80 ans, s’est réfugiée au camp de Pax Villa dès le lendemain du séisme  de janvier 2010. Sous une tente, déchirée et bricolée,  de moins de deux mètres carrés, elle languit, malgré elle, avec  ses quatre enfants et petits-enfants. Iramène vend du charbon de bois au détail  pour subvenir à certains besoins de sa famille.  Après environ trois longues années passées dans ce

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