Dieulermesson Petit Frère : Dites-nous comment êtes-vous venue à la littérature haïtienne, particulièrement Les Rapaces.
Carolyn Shread (C.S.): Tout a commencé avec un beau tableau sur une affiche annonçant un cours lors du bicentenaire de la Révolution haïtienne, j'étais encore doctorante à l'université de Massachusetts (UMass). Sans ce tableau, je ne me serais peut-être pas plongée dans cette aventure passionnante qu'a été la découverte de la littérature, la culture, l'histoire haïtiennes.