Insécurité/Mouvement de protestation

Jacmel dit non au kidnapping

Pour une deuxième journée consécutive, toutes les activités étaient paralysées dans la ville de Jacmel. La population a encore gagné les rues, mardi, pour dire non au kidnapping et à l'insécurité, à la suite de l'enlèvement chez lui le week-end écoulé du petit Jorym Maxi, trois ans, et du meurtre de son oncle sous ses yeux. Le maire de Jacmel offre 10 000 dollars à tous ceux qui peuvent donner des informations susceptibles de conduire à la libération de l'enfant.

Robenson Geffrard rgeffrard@lenouvelliste.com
20 nov. 2012 — Lecture : 4 min.

Barricades de pneus enflammés un peu partout, l’école n’a pas fonctionné, les activités économiques paralysées et le transport en commun a fonctionné au ralenti. La ville de Jacmel, réputée pour son calme, est depuis dimanche en état de choc après l’enlèvement du petit Jorym Maxi, trois ans, et le meurtre de son oncle, l’agronome Jean-Marie Patrice Etienne, chez eux, à Demontreuil, une section communale de Bas Cap Rouge. Pour la

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