En 2000, sous le titre «L’offre de programmes-radio», j’ai eu à braquer les projecteurs sur ce qui se faisait de mieux dans la radiodiffusion haïtienne. Travail fort apprécié à sa publication dans «Le Nouvelliste». Je retrouve une partie du manuscrit dont je ne peux résister à l’envie de partager (à nouveau) avec le lectorat. Ce passage concerne l’identification de la radio comme un compagnon, les habitudes prises au quotidien par l’au
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