Le spectacle de mauvais goût qu’a offert mardi le président du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ), Me Anel Alexis Joseph, peut être interprété comme un signal lancé à ceux qui se font d’illusion que le pays est sur la voie d’un bien meilleur fonctionnement de celui qu’on a connu pendant ces vingt dernières années. La rupture avec le passé tant rêvée par les organisations de la sociét
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