Le vocabulaire de la chronique sportive s'enrichit. Sous nos yeux et à nos oreilles, les reporters se mettent à parler un langage élégant, recherché, disons-le franchement, pointu. Insensiblement, l'on ne s'en était pas aperçu, à force de feuilleter les journaux ou d'être branché sur le poste de radio de son choix, l'on se rend compte que le vocabulaire a évolué. Dans les années 70 et 80, les chroniqueurs parlaient de porter l'estocade au sens de double
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