« Folidamou », l'amour à n'en plus finir

La scène de la salle polyvalente Fokal-Unesco est transformée en une place publique.

Chenald Augustin
24 mai 2012 — Lecture : 3 min.
La scène de la salle polyvalente Fokal-Unesco est transformée en une place publique. Le décor : des haies de fleurs et de plantes et trois bancs. Des bancs publics où, pour parodier le célèbre Georges Brassens, se becquètent des amoureux, des fous d'amour, des vieux, des stripteaseuses, des putes, des chômeurs, des oisifs... Des bancs sur lesquels certains s'asseyent, les yeux rivés au ciel pour rêver au vieux temps à des femmes jamais vues ou rencontrées, et où d'autres draguent en gentlemen, posent leur regard plein d'envie et de désir sur le

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