Un tribunal de Montevideo entendra Johnny Jean dans le cadre du dossier de viol sur sa personne par quatre Casques bleus uruguayens de la Minustah, qui ont été libérés par un tribunal militaire, selon le mandataire du jeune homme, sous prétexte de n'avoir pas eu les témoignages de la victime ou de ses représentants. A l'instigation des avocats engagés sur ce dossier et les efforts de l'Office de la protection du citoyen, le gouvernement uruguayen finance le voyage de la victime, de ses avocats et de son mandataire. L'affaire sera ouverte le 10
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous