Une visite impromptue. Des déclarations considérées comme une ingérence dans les affaires internes des Bahamas. Michel Martelly a embarrassé le gouvernement bahamien avec sa visite, le 4 février, dans cet Etat du Commonwealth. En appelant les Haïtiens d'origine bahamienne à voter pour le parti politique susceptible de défendre leurs intérêts et que les Bahamas ont la loi du sol. Le président Martelly a outrepassé ses droits, a estimé l'opposition politique aux Bahamas. Elle a demandé au Premier ministre Hubert Alexander Ingraham de remettre sa
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