La scène de l'Institut français a l'air ce mercredi d'un salon. Le décor est planté : quatre chaises bien arrangées autour des tables et des pots à fleurs. Cela rappelle le vieux Port-au-Prince, où, dans leurs résidences, des intellectuels, artistes et poètes, savaient se réunir pour parler de littérature, d'art et de politique, voire des idéologies qui avaient dominé leur époque. Georges Castera, un habitué de ce type de rencontre, où son père recevait chez lui des personnalités intellectuelles comme Jacques Stephen Alexis, sent peut-être re
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous