Avez-vous remarqué que l'Haïtien, trop longtemps sevré de l'essentiel, se contente désormais de l'existant ? Son avis lui est de moins en moins demandé, ce qui pose le cuisant problème de la participation. Au fait, participe-t-il aux décisions le concernant ? J'ai ici, dans ces colonnes, signalé la bonne forme de la culture de l'imposition alors que celle de l'adhésion conviendrait mieux à ses aspirations. En effet, on ne trouve pas signe de la sollicitation à lui faite de se prononcer sur ce qui l'intéresse. Je ne veux pas entrainer le lecteur
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