Ouessant. Pluies et vents. Vagues tourmentées. Sous la tempête, je m’enferme dans ma chambre et lis La vie sans fards de Maryse Condé.
J’oublie l’île et les humeurs de la météo. Je plonge dans le livre deux jours avant l’ouverture officielle du salon international du livre d’Ouessant. Sur l’île d’Iroise, je dévore cette autobiographie sans concession. Moi, qui fréquente Maryse Condé depuis plusieurs années, l&r
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