Le responsable de la POHDH, structure qui regroupe plusieurs organismes de défense des droits humains en Haïti, croit que l’une des erreurs de ce pouvoir a été de favoriser la fédération des gangs, avec l’aide de la Commission nationale de désarmement, démantèlement et réinsertion (CNDDR). « Les autorités n'ont rien fait pour freiner le fonctionnement des gangs. Nous sommes face à des autorités irresponsables. Si le pouvoir n'a rien fait, c'est parce qu'il a ses intérêts dans ce qui se fait... », soutient Alermy Piervilus, q