L'ex-présidente par intérim de Bolivie, l'ultra conservatrice Jeanine Añez, s'est défendue mardi des accusations portées dans le rapport d'une commission parlementaire recommandant qu'elle soit traduite en justice pour répondre des conflits sociaux de l'an dernier qui ont fait une trentaine de morts.
La Chambre des députés et le Sénat, détenus par la gauche et réunis en session conjointe jeudi, ont approuvé le rapport parlementaire sur les "massacres de Senkata, Sacaba et Yapacani, qui recommande un jugement en responsabilités c