« Le chant des nébuleuses » de Denise Bernhardt

Une jeune poétesse qui chante l’amour accouche souvent une poésie mièvre, à l’eau de rose, oubliée aussitôt qu’on ferme le livre.

Mario Malivert  mariomalivert@yahoo.com
Par Mario Malivert mariomalivert@yahoo.com
06 avr. 2020 | Lecture : 5 min.

Une jeune poétesse qui chante l’amour accouche souvent une poésie mièvre, à l’eau de rose, oubliée aussitôt qu’on ferme le livre. Mais quand une poétesse de carrière, de la trempe de Denise Bernhardt, chante l’amour, on en vient à percevoir les lieux communs de la sensualité, de la tendresse, et même de la passion sous d’autres prismes, d’autres registres. On en vient à rêver encore d’amour, à sentir le tumulte du cœur à l’approche de l’amant, à se trémousser d’aise, de plaisir. Il est possible encore d’aimer passionnément. Il est possibl

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