La représentation théâtrale de « Kalibofobo » de Frankétienne, à l’Institut français en Haïti (IFH), le mercredi 20 novembre, a provoqué de vives émotions. Cette pièce, mise en scène par le poète-journaliste Jacques Adler Jean Pierre, confirme une fois de plus l’idée selon laquelle le théâtre parle et promène son miroir dans lequel la société se reconnaît. N’est-ce pas Schopenhauer qui eut à dire « Ne pas se rendre au théâtre, c’est comme faire sa toilette sans miroir » ?
Dans la cour de l’IFH, un décor