Le sénateur Steven Y. Benoît passe à l'opposition. « Le pays marche mal », a-t-il dit, égrenant, d'un ton quelque peu survolté, les 12 charges de son acte d'accusation contre le président Michel Joseph Martelly, au pouvoir depuis quatre mois.
Contraint, selon lui, de sortir de son mutisme et d'écourter le round d'observation du nouveau pouvoir, le sénateur Benoît indique avoir noté la tentation du chef de l'Etat de vouloir « tout accaparer », en annonçant son intention de mettre sur pied un Conseil électoral provisoire (CEP), contrairement
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