Pris dans un étau entre le pouvoir politique et la bureaucratie laxiste, les dossiers toxiques élaborés par l’ULCC à la tête de laquelle Antoine Atouriste s’était en son temps révélé déterminé et laborieux ont été particulièrement classés sans suite par la justice (le parquet). Toujours depuis nos balbutiements de première République noire indépendante nous avons eu à composer avec un système judiciaire aussi engoncé, improductif, prisonnier de forces ou confréries mafieuses et rétrogrades. Le scandale PetroCaribe fournit un exemple