15 mars 1908 - 15 mars 2008 : cent ans déjà que la disparition tragique de Massilon Coicou a fait une énorme brèche au monde littéraire haïtien. Mort sanglante, lâche, assassine, révoltante, subie par Coicou au nom de l\'amour qu\'il a toujours exprimé pour sa patrie, objet de son culte sacré.
Sale boulot ! La nuit du 14 au 15 mars 1908 aura laissé un souvenir macabre de cet écrivain dont le nom désormais demeure, selon Ghislain Gouraige, comme le symbole de la résistance à la tyrannie des médiocres. Ecourter la vie d\'un barde si prometteu
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous