Évens Arcelin s’est frotté à plusieurs ateliers de Port-au-Prince. L’artiste-peintre fréquente l’atelier Créations où il a posé ses valises. On le retrouve plus tard à l’atelier d’Allrich Moca, un peintre doté d’un talent fou qui est mort trop tôt. Le monde artistique pleure encore son départ. Dans cet espace, il apprend l’essentiel à son développement, autrement dit, l’art d’affiner son caractère, à dire « non », à travailler dans un beau désordre d’où il structure l’ordre sur la surface plane, dans le dessin et les couleurs.
Chez les Arcel
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