« Désordre, chaos, bruits, et la bête, tête en bas, surgit...»

Évens Arcelin comme Jean-Michel Basquiat

Évens Arcelin suit les brisées de Jean-Michel Basquiat. Comme ce dernier, son style baigné dans l’innocence d’un génie bouillonnant, est vif, original et énergique. Ses toiles happent le regard. L’artiste peintre ouvre sa première exposition individuelle à l‘IERAH/ISERSS, à la rue LaFleur Ducheine, près de l’INAGHEI. L’expo qui s’accompagne de conférence le jeudi 17 décembre à 10 heures a.m. s’étendra jusqu’au 15 janvier 2016.

Wébert Lahens
webblahens@yahoo.fr
Par Wébert Lahens webblahens@yahoo.fr
16 déc. 2015 | Lecture : 2 min.
Évens Arcelin s’est frotté à plusieurs ateliers de Port-au-Prince. L’artiste-peintre fréquente l’atelier Créations où il a posé ses valises. On le retrouve plus tard à l’atelier d’Allrich Moca, un peintre doté d’un talent fou qui est mort trop tôt. Le monde artistique pleure encore son départ. Dans cet espace, il apprend l’essentiel à son développement, autrement dit, l’art d’affiner son caractère, à dire « non », à travailler dans un beau désordre d’où il structure l’ordre sur la surface plane, dans le dessin et les couleurs. Chez les Arcel

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