Le candidat à la présidence de la plateforme Jistis, André Michel, ne veut plus continuer dans la course électorale. Il jette l'éponge. Il ne compte pas cependant écrire au Conseil électoral provisoire pour l'en informer officiellement. A un mois du premier tour de l'élection présidentielle, cette démarche administrative n'aurait aucune conséquence légale, explique l'homme de loi en se référant au décret électoral du 2 mars 2015.
"Tout candidat ou cartel peut renoncer à sa candidature par un acte notarié adressé au CEP, au BED ou au BEC com