Ce ne sera pas, dit-on, une visite par défaut ni un simple retour de politesse au président Martelly. Mais une action politique dont la portée ne voudra pas être que symbolique, l’acte fondateur de quelque chose de nouveau, de plus humain et efficace dans la relation entre les deux pays.
L’occasion peut-être de penser ce qu’ici la France n’a pas su faire, dire ni entendre. L’occasion d’exprimer la volonté de réparer, au moins au sens de corriger, mieux faire.
Déjà, sur le passé colonial, reconnaître pour crime ce qui ne fut qu’un crime. Ne