Ona-Ville, un gâchis financier ?

Seulement 13 maisons sur les 93 construites par l'Office national d'Assurance-Vieillesse (ONA) dans le cadre du projet d'ONA-Ville, au pied du Morne-à-Cabris sont actuellement habitées. La direction de l'ONA envisage de vendre les maisons aux policiers, mais il faut une subvention de l'Etat haïtien.

Jean Pharès Jérôme
pjerome@lenouvelliste.com
Par Jean Pharès Jérôme pjerome@lenouvelliste.com
19 oct. 2012 | Lecture : 3 min.

ONA-Ville, nom du projet de logements sociaux de l’ONA, est calme, voire déserte. Les quelques rares familles qui y vivent ne sont pas suffisantes pour donner vie à ce quartier destiné à accueillir des employés de la fonction publique. Neuf ans après l’inauguration du projet, la majorité des maisons sont vides. Seules 13 sur les 92  construites sont pour l’instant habitées.

Des agents de sécurité de l’ONA surveillent sur le site. Ils r&

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