Lettre de Jacques Stephen Alexis à Florence Alexis...

Je n'aurai pas beaucoup de temps, hélas ! Pour continuer, du lointain où je me trouve, mon imprescriptible tâche paternelle.

J.S. Alexis
La Havane, 11 janvier 1955
Par J.S. Alexis La Havane, 11 janvier 1955
20 avr. 2012 | Lecture : 1 min.
Je n'aurai pas beaucoup de temps, hélas ! Pour continuer, du lointain où je me trouve, mon imprescriptible tâche paternelle... Je puis te donner vois-tu, ma petite fille, quelque chose que je connais bien, pour l'avoir éperdument cherché et trouvé, tout en continuant à le chercher, c'est le sens de la pureté du coeur, de l'amour de la vie, de la chaleur des hommes... Oui, j'ai toujours abordé la vie avec un coeur pur. C'est simple vois-tu, Florence... Et surtout... n'oublie jamais qu'un être humain ce n'est pas seulement des bras, des jambes
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