Dieu merci ! j'ai eu le privilège d'assister à l'une de ses performances musicales dans le sud de la Floride, il y a une quinzaine d'années, au restaurant très prisé Kasa Champèt.
En regardant l'une de tes photos en grand format placardée dans le hall principal de la bibliothèque de West Oakland Park (Comte de Broward) que je fréquente quotidiennement avant d'aller au travail, pour marquer en lettres de feu le mois de l'histoire des Noirs aux États-Unis, il m'est venu à l'esprit cet extrait du fameux requisitoire de l'écrivain-poète et homme politique martiniquais Aimé Césaire intitulé « Cahier d'un retour au pays natal ».
Petit à petit, les gens reprennent goût à la vie, au chemin des spectacles, malgré la montée en force de la Covid -19, en particulier la variante Delta dans le Sud de la Floride.
Il y a de ces écrivains qui vous hypnotisent, qui vous mettent de l'eau à la bouche en lisant leurs oeuvres qui ont traversé le temps et l'espace.
Elle a été l'une des sensations lors de l'investiture du 46e président des U.
Je bois toutes les paroles de cette chanson comme du thé à la citronnelle pour retrouver mon sourire d’antan, mon sourire de jeunesse.
Les jours défilent comme des étoiles de feu sous nos yeux tristes, impuissants et charrient leurs lots de souvenirs, de regrets, de lamentations intenses, de cadavres, de fleurs fanées allongées sur les trottoirs du monde.