Chaque année, la fameuse et triste date du 26 avril revient inévitablement et soulève dans certaines mémoires de très mauvais souvenirs. D’aucuns doivent se demander pourquoi encore en parler, cela devient fatigant ! Eh bien, plusieurs raisons expliquent cet «acharnement», s’il en est. Les principales sont les suivantes :
1) il est dans la vie d’un peuple, des souvenirs - n’en déplaise aux révisionnistes et aux négationnistes - que personne ne peut, ni ne doit tenter d’effacer (exemple : l’holocauste juif); il no