L’aboutissement de Samuel Daméus à la photographie participe d’une quête de sens, d’un cheminement presque spirituel. « Depuis l’enfance, j’avais le souci d’extérioriser ce qui me traverse. Je me suis essayé au piano. Ce ne fut pas très fameux. Ce fut pareil avec le saxophone. J’ai aussi flirté avec la peinture », conte cet homme qui mettait la barre trop haut à chacun de ses essais. Un ami lui passe alors une petite caméra numérique. « Dès les premiers jets, dit-il, j’ai fait l’objet de retours avantageux de la part de proches et d’amis. O
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