Le gouvernement n\'entend pas s\'immiscer dans les affaires du Conseil électoral provisoire, a indiqué le ministre de l\'Intérieur et des Collectivités territoriales, Paul Antoine Bien-Aimé, qui répondait à une invitation du Sénat de la République. « Nous entendons respecter scrupuleusement l\'indépendance de l\'institution électorale quelles que soient les conséquences », soutient le ministre Bien-Aimé.
« Le CEP n\'est pas un Etat dans l\'Etat », a répliqué le sénateur Jean Gabriel Fortuné, mécontent du fonctionnent de l\'institution élect