« Le parquet du tribunal civil de Port-au-Prince, les commissariats et les sous-commissariats sur tout le territoire national sont surpeuplés. Même les anciens prisonniers ne peuvent vivre convenablement dans ces centres de détention. Une situation alarmante se déchaîne au niveau de la justice tandis que le gouvernement fait la sourde oreille », déclare la porte-parole du Réseau national de Défense des Droits humains (RNDDH), Mme Marie-Yolène Gilles.
Mme Gilles, au cours d\'une interview accordée au Nouvelliste, hier mardi, dénonce la si