Le sélectionneur Carlo Marcelin avait avancé pas mal de conditions pour que les barrages se disputent dans des conditions plus ou moins appréciables afin d\'éviter la catastrophe de la Martinique. Le bureau fédéral a-t-il répondu ?
Nous ne parlerons pas de catastrophe de la Martinique dans la mesure où avant même de laisser Haïti nous savions que cela allait arriver. Nous savions que nous n\'avions pas d\'argent, que nous n\'avions pas de moyens et nous savions que nous pourrions passer si et seulement si la chance nous souriait. La priorité