La deuxième et ultime phase de répétition générale lancée, lundi, par le Conseil électoral provisoire (CEP) n'a pas porté fruit. Le constat fait dans certains centres de vote ouvert et au local du CEP, lundi, n'est guère réjouissant. Les managers, superviseurs et membres des bureaux de vote (BV) ont brillé par leur absence.
Ces coups d'essai non réussis sont loin d'être rassurants pour l'image du CEP qui tente de se relever des irrégularités enregistrées lors du premier tour du scrutin, le 7 février 2006. « Cette journée devait marquer le