« Il y a des efforts considérables à faire par le Conseil électoral provisoire (CEP) et les acteurs internationaux impliqués dans la gestion du processus électoral. Pour des élections honnêtes, crédibles et démocratiques, les responsables doivent se mettre à la tâche dans un dessein d'ensemble. Il est possible qu'ils arrivent à mettre au point ce qu'il y a à mettre au point, à corriger ce qu'il y a à corriger en vue du bon déroulement des élections le 7 février 2006 ». Propos du coordonnateur général du CNO, Léopold Berlanger.
Pour une vaste
CEP/7 février 2006
Les élections sont-elles techniquement possibles?
La conduite du processus électoral devrait être normalement marquée par une certaine cohésion et une meilleure répartition des responsabilités au sein du CEP. Et des acteurs internationaux. En dépit des défaillances majeures observées dans la gestion du processus, le Conseil de Sécurité de l'ONU a exigé que le premier tour du scrutin se tienne le 7 février 2006. Soit. « Mais il y a des choses essentielles à régler dans la perspective d'élections honnêtes et crédibles », estime le coordonnateur général du Conseil National d'observateur des élections (CNO), Léopold Berlanger. Il s'exprimait lors d'un entretien ce mercredi 11 janvier 2006 avec le Journal.