MINUSTAH/Insécurité

La faillite de Juan Gabriel Valdès...

Avec près de 8.000 militaires et 1.900 policiers, la MINUSTAH n'est toujours pas parvenue à aider à la stabilisation du pays. Le désarmement n'a pas eu lieu, les zones de non-droit dont Cité-Soleil se dressent comme des obstacles infranchissables. Les actes de kidnapping ont atteint un niveau record. Pour la première fois depuis 22 mois la responsabilité personnelle de l'ambassadeur Juan Gabriel Valdès est mise en cause dans l'incapacité de la mission onusienne à remplir sa mission tandis que le chef de la police Mario Andrésol réclame des moyens pour lutter contre l'insécurité après avoir reconnu que le support des casques bleus aux agents de la PNH, n'a pas atteint, sur le terrain, le niveau d'efficacité escompté .

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
04 janv. 2006 | Lecture : 3 min.
L'ambassadeur Juan Gabriel Valdès est directement mis en cause dans la faillite de la MINUSTAH à remplir sa mission consistant pour l'essentiel à assurer un climat sûr et stable devant permettre l'organisation d'élections crédibles en Haïti. En effet, le coordonnateur du groupe des 184 André Apaid Junior n'est pas allé par quatre chemins pour engager la responsabilité personnelle de l'ambassadeur chilien dans l'incapacité de la composante militaire et policière de la mission onusienne à aider à la stabilisation du pays en participant notamme
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